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«Dream Eater» : scènes (hantées) de la vie conjugale

7 hour_ago 30

         

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Depuis le mégasuccès surprise du film The Blair Witch Project (Le projet Blair Witch), les productions horrifiques fauchées de type « images trouvées » (found footage) pullulent. Tellement qu’on peut se demander s’il ne s’agirait pas là, au fond, de la vraie malédiction de la sorcière de Blair. En effet, pour une réussite comme Paranormal Activity (Activité paranormale), les amateurs d’épouvante curieux doivent souffrir quantité de titres médiocres. D’où l’intérêt de souligner les essais concluants comme Dream Eater. On y suit une jeune réalisatrice qui documente l’alarmante parasomnie de son conjoint.

Ce « documentaire dans le film » est campé, on vous le donne en mille, dans un chalet isolé en forêt, lieu emblématique s’il en est en matière d’horreur. À cet égard, les coscénaristes et cocinéastes Jay Drakulic, Mallory Drumm et Alex Lee Williams, font un usage judicieux de l’endroit, de ses escaliers, recoins et autres vides sanitaires. À noter que Mallory Drumm et Alex Lee Williams tiennent également la vedette en utilisant leurs vrais prénoms.

Après un prologue haletant, et uniquement sonore, établissant que les troubles du sommeil d’Alex mettent désormais sa vie en danger, le film se transporte dans ledit environnement sylvestre reculé (le tournage s’est déroulé non loin de Nominingue). Sur place, les choses dégénèrent lentement (un peu trop) mais sûrement entre Alex et Mallory.

Mallory qui fait tout ce qu’elle peut pour soutenir Alex, mais qui prend graduellement conscience que ce dernier est sous l’influence d’une entité maléfique…

Tension qui s’insinue

Tourné modestement mais ingénieusement (le budget serait de 100 000 dollars à peine), Dream Eater bénéficie du jeu naturel des deux interprètes (comme le susmentionné Paranormal Activity avant lui).

Le film met en revanche du temps à établir sa mythologie, tout en se montrant répétitif dans ses scènes (hantées) de la vie conjugale : l’approche à combustion lente aurait mieux fonctionné en resserrant le tout un brin.

Il n’empêche, une fois qu’elle finit par s’insinuer pour de bon, la tension fait souvent accélérer le rythme cardiaque.

Terrifiant, le dénouement vient dissiper l’impression de produit dérivé désormais inhérente à la plupart de ces films souvent très formatés. Bref, il y a encore des frissons à trouver dans ces images-là, qui plus est au fond des bois.

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