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ANALYSE - À Nouméa pendant quatre jours pour tenter de préserver l’accord sur l’avenir de la Nouvelle-Calédonie, le ministre des Outre-mer, Manuel Valls, espère convaincre le FLNKS d’adopter la position des plus « constructifs ».
Quand on est lâché par ses adversaires, rien de tel que de s’appuyer sur les frondeurs. Ainsi raisonne le gouvernement depuis que le principal mouvement indépendantiste a mis en échec, le 13 août, le projet d’accord sur l’avenir de la Nouvelle-Calédonie conclu un mois plus tôt à Bougival (Yvelines), qui prévoit la création d’un « État » calédonien maintenu dans la France. En visite à Nouméa à partir de ce mercredi pour essayer de préserver ce compromis, le ministre des Outre-mer, Manuel Valls, espère toujours obtenir une volte-face du Front de libération nationale kanak et socialiste (FLNKS).
Mais, en attendant, il compte s’appuyer sur la branche modérée des indépendantistes. Il a apprécié que l’Union nationale pour l’indépendance (UNI) prenne ses distances avec ses alliés historiques, en soutenant le texte signé le 12 juillet, tout comme le camp des partisans de la France. « On a mis un an et demi à parvenir à un accord. Si l’accord de Bougival doit tomber à l’eau, si on doit se remettre…


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