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Et le roi perdit sa couronne... puis sa tête !
Du cahier de doléances à la création de l’Assemblée Nationale, quand la France bascula dans la démocratie, y a-t-il une convergence avec notre situation ?…
En effet, un étrange parallèle pourrait se faire entre ce qui s’est passé il y a 126 ans.
Pour Peter Turchin, un penseur américain, surnommé « le scientifique de la complexité », nous devrions regarder de plus près l’histoire de notre pays, pour éviter de refaire les mêmes erreurs.
Einstein avait déclaré : « la folie c’est de faire toujours la même chose et de s’attendre à un résultat différent ». lien
Aujourd’hui, le président de notre république, se trouve dans une impasse, au point que l’on puisse s’étonner qu’aucun élu n’ait eu la bonne idée de créer dans sa ville « une impasse Lecornu », voire une « impasse Macron ».
Mais revenons à 1789 et à la convergence que nous propose Turchin.
Un an auparavant, la monarchie française était aux prises avec une grave crise budgétaire qui précipitera en 1789 le déclenchement de la révolution française.
L’histoire officielle explique l’aggravation des dépenses par les coûts liés aux conflits armés (la guerre de 7 ans et la guerre d’indépendance américaine)…
là aussi on pourrait tenter un parallèle avec notre implication dans les conflits actuels…
mais Turchin ne veut pas limiter cette aggravation des dépenses aux seuls conflits dans lesquels la France s’était impliquée.
Il fait entrer dans cette équation « la surproduction des élites, lorsque nous formons une société dans laquelle cette surproduction forme beaucoup plus de prétendants à des positions de pouvoir, de richesse, ou de prestige, au point qu’il n’existe plus de places disponibles, ce qui accroît la compétition, la frustration, alimentant les conflits internes jusqu’à la crise ...ou la révolution. ».
Une chose est certaine, les dépenses de ce gouvernement, et des précédents, ont fait la culbute, avec ce qu’il faut bien appeler des privilèges : salaires à vie, chauffeurs, voitures, voyages gratuits, gardes du corps, et autres avantages divers et variés, ce qui coûte un pognon de dingues, et le petit geste que promet Lecornu en en finissant avec les salaires des anciens Présidents de la République, n’est qu’une goutte d’eau dans l’océan des dépenses, et est juste un attrape idiot afin de tenter de se mettre le PS dans la poche.
Il n’est pas inutile de rappeler que cette mesure avait déjà été adoptée par le Sénat lors de l’examen du budget 2025..et n’avait pas survécu à la navette parlementaire. lien.
C’est d’ailleurs en 2017 que macron avait promis une réduction d’un tiers du nombre des parlementaires des 3 assemblées.lien
Il faut savoir que les deux ex-présidents, Sarkösi et Hollande nous coûtent près de 3 millions d’euros par an. Lien
Pourtant, il y a bien mieux à faire que de limiter les avantages de quelques vieux présidents de la république…
Il faudrait aussi s'interroger sur le fait que l’argent du peuple sert aussi à payer l’enterrement de nos sénateurs : 18 245 € quand même.lien
Il faut aussi savoir qu’un député qui a fait 5 ans de mandat, a droit à une retraite de 1200/1300 €, et que celui a fait 10 ans de mandat aura 3500 € de retraite. lien
Un internaute a tenté un bilan entre ce qui se passe chez nos voisins outre-Rhin, et notre pays, et le résultat est édifiant. lien
Abel Boyi a une proposition bien plus ambitieuse, et surtout plus efficace : il faut s’attaquer aux 1200 agences qui nous coûtent 80 milliards, avec les ODAC, (organismes divers d’administration centrale) réalisant une l’économie de 150 milliards...puis s’attaquer aux 70 000 fonctionnaires : ils gagnent plus de 15 000 € mensuels. lien
On peut aussi regarder de plus près comment est gérée l’enveloppe de frais des députés. Surprises à l’horizon. lien
Pourtant le chapitre des dépenses est loin d’être complet.
Comment faire l’impasse sur les 3 milliards de dépenses qui se sont volatilisés ?
En cause ?
Des projets en route, jamais terminés, des bâtiments sortis de terre au milieu de nulle part, jamais terminés, à 5 millions pièce, des logiciel d’informatique à 150 millions pièce qui n’ont jamais fonctionné, des contrats attribués sans appel d’offre à des proches du pouvoir, et puis des fameuses note de frais à faire tourner la tête, des repas pour 2 à 700€ au Fouquet’s, des nuits à 1200 € dans des hôtels 3 étoiles, des voyages diplomatiques à l’autre bout du monde, sans résultat... c’est dans un nouveau rapport de la Cour des Comptes...3 milliards d’€ envolés. lien
et quid des dépenses fastueuses décidées par l’Élysée, (2 millions d’€ en 7 ans) destinées à organiser des soirées surprenantes. lien
Quant au prix d’un repas à la cantine étoilée, du Sénat il se situe entre 17 et 23€.
on pourrait aussi revenir sur les 270 milliards donnés aux entreprises, sans la moindre contrepartie, comme l’explique la journaliste au Nouvel Obs, autrice de « le grand détournement ». lien
c’est la rentrée, et on apprend que l’état à dépensé 155 milliards pour les bureaux de l’état. Lien
Oublions les dépenses, et voyons du coté des recettes,
Turchin affirme que « pour l’ancien régime, le problème tenait à un système fiscal à la fois inefficace et régressif, combiné l’incapacité de réformer les finances royales face à la résistance des élites, notamment celle des parlements et des ordres privilégiés ».
Comment ne pas faire un parallèle avec notre situation aujourd’hui ?
Actuellement, le pouvoir mène une guerre de désinformation dans les principaux médias, concernant la taxe Zucman...sauf qu’il s’agit de fakes grossiers comme l’explique dans cette courte vidéo. le député Aurélien Le Coq.
Ajoutons pour la bonne bouche le concept de réduction du nombre de députés, et de sénateurs, afin de se mettre au diapason des principaux pays de la planète, ce qu’avait tenté, en vain, Édouard Philippe. lien
On pourrait, en guise de conclusion regarder la liste, de toutes les mesures du budget sur laquelle le gouvernement ne s’est pas encore prononcé, liste que Louis Boyard propose, et elle est longue, très longue…
en résumé, si on additionne tous les impôts et taxes diverses que payent les français, en moyenne, 50 %...alors que la moyenne des plus riches du pays, leur impôt sur le revenu, est de 2 %…(contre 8 % pour l’ensemble des contribuables), on ne peut être que surpris. lien
Mais savez-vous qu’un élu peut cumuler jusqu’à 5 retraites...et qu’à revenu égal, face à un salarié, un élu peut payer 2 fois moins d’impôts. lien
Souvenons nous ce que la révolution française avait gravé dans le marbre : les impôts doivent être établis a hauteur de leurs moyens, et en raison de leur faculté. l
Macron semble l’avoir oublié..
il bat des records comme le raconte cette vidéo. :
comme dit mon vieil ami africain : « la pauvreté sans dette dépasse la richesse ».
le dessin illustrant l’article est de Kadran
Merci aux internautes pour leur aide efficace
Olivier Cabanel
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