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S’entraîner pour mieux vieillir

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Il n’y a pas d’âge pour s’entraîner et les personnes aînées qui font le choix de bouger peuvent observer des bénéfices notables tant sur la santé physique que mentale. C’est le message qu’ont voulu partager Olivier Donais, entraîneur au Complexe Maxi-Forme de Baie-Comeau, et Marie-Hélène Tremblay, une cliente assidue âgée de 66 ans.

Mme Tremblay est catégorique : l’entraînement l’a protégée. Une chute récente aurait pu être beaucoup plus grave, mais sa condition physique a joué un rôle clé dans sa récupération.

« Je suis tombée au début juin, mais je m’en suis sortie sans blessure. C’est là que j’ai compris que c’est parce que je m’entraîne parce que j’aurais pu me casser plein d’affaires. Le lendemain, j’étais de retour à l’entraînement », raconte celle qui n’a eu qu’une ecchymose dans le visage.

Son entraîneur confirme. « En vieillissant, les risques de blessure augmentent, et le corps prend plus de temps à guérir. Ce n’est pas que les risques de blessure, mais les problèmes de santé aussi. »

« Mon objectif avec Marie-Hélène, c’est de travailler tout le corps au complet, de créer un équilibre dans sa forme physique. Ça va l’aider à avoir une meilleure posture, un meilleur équilibre, une meilleure force musculaire. Des points importants pour empêcher de se blesser ou de tomber », ajoute-t-il.

L’entraînement permet aussi d’augmenter la densité osseuse et ainsi renforcir les muscles qui deviennent plus solides. « C’est important pour les personnes âgées, ça fait une énorme différence », soutient M. Donais.

Des résultats concrets

Parmi les exemples frappants, le copropriétaire du Complexe Maxi-Forme cite un autre client, aujourd’hui âgé de 82 ans, qui s’entraîne régulièrement depuis plusieurs années. Malgré un diagnostic d’arthrose, sa condition est stable depuis quatre ans.

« Son médecin n’en revenait pas parce que tous ses bilans de santé sont beaux. Son entraînement a freiné la progression de la maladie », souligne-t-il.

D’autres aînés fréquentent le centre sportif, mais ils sont plus rares ceux qui décident de commencer l’entraîner à 70 ans, par exemple. 

Marie-Hélène Tremblay, quant à elle, a commencé il y a trois ans. Elle s’était déjà adonnée à l’entraînement par le passé, mais c’est à sa retraite qu’elle a décidé de reprendre.

« Je ne me voyais pas faire du divan à la journée longue. Alors, j’ai rappelé Olivier pour recommencer. J’ai vu un gros changement parce que l’équilibre, je ne l’avais pas. J’avais aussi de la difficulté à me lever sur un banc », se rappelle-t-elle.

Olivier lui remémore d’ailleurs fréquemment tous ses progrès et d’où elle est partie. Chaque quatre semaines, son programme d’entraînement est modifié afin d’éviter la routine pour le corps et l’esprit. 

« C’est super de commencer à prendre sa marche de 30 minutes par jour, mais ça devient routinier pour le corps et les muscles. Il faut diversifier les mouvements pour tonifier le corps au complet », divulgue l’entraîneur qui conseille à tous de commencer par un plan d’entraînement personnalisé. 

Il est aussi possible d’avoir un entraîneur à ses côtés durant sa présence au centre en guise de motivation ou pour bien faire les mouvements. « C’est motivant de prendre rendez-vous, de savoir que l’entraîneur nous attend. Ça nous tente moins de rester chez nous et de rater un entraînement », croit M. Donais.

Au-delà des bienfaits physiques, l’entraînement a aussi un impact sur le moral. « Tu arrives parfois un peu frustrée, mais tu ressors apaisée », confie Mme Tremblay.

Les centres d’entraînement comme Maxi-Forme offrent aussi un aspect social non négligeable. « On voit les mêmes visages, on jase, ça devient un petit rituel », souligne le copropriétaire. Même les personnes qui s’entraînent seules finissent souvent par se faire des connaissances.

Une accessibilité plus grande

Depuis 14 ans, Olivier et sa conjointe Véronique Belzile travaillent à démocratiser l’accès à l’entraînement. « On a voulu enlever la gêne associée aux gyms. Ici, on parle de centre sportif, c’est plus accueillant. »

Le Maxi-Forme regroupe sous un même toit entraîneurs, kinésiologues, physiothérapeutes et ostéopathes. Il embauche 10 employés.

Beaucoup arrivent à la retraite avec des projets de plein air, de voyages ou d’activités en nature. « Mais certains réalisent qu’ils n’ont pas l’énergie ou la force physique pour les réaliser », observe M. Donais. L’entraînement devient alors un outil pour vivre pleinement cette période de la vie.

Marie-Hélène Tremblay résume bien ce que plusieurs découvrent. « C’est beau de dire qu’on a le cœur jeune, mais il faut aussi garder le corps jeune. »

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