Language

         

 Publicité par Adpathway

Elle a 289 millions d’années : ce que cache la plus vieille stalagmite du monde !

1 week_ago 18

         

NE LAISSER PAS LE 5G DETRUIRE VOTRE ADN Protéger toute votre famille avec les appareils Quantiques Orgo-Life®

  Publicité par Adpathway

Sous la surface de l’Oklahoma, dans un ancien réseau de grottes pétrifiées, des chercheurs ont mis au jour une formation minérale d’un autre âge. Brisée, certes, mais précieuse : elle détiendrait la clé d’un passé vieux de près de 300 millions d’années. Et elle pourrait bien bouleverser notre compréhension du climat et de la vie terrestre du Permien.

Les grottes sont des environnements extrêmes, froids et humides, où la vie se fait rare. Mais elles abritent aussi des merveilles géologiques : les stalagmites, ces colonnes qui s'élèvent lentement du sol au fil des millénaires, au rythme des gouttes chargées en minérauxminéraux.

À Richards Spur, un vaste réseau de cavités calcaires fossilifères situé dans l'Oklahoma, les chercheurs ont découvert des fragments de stalagmite datés de 289 millions d'années, un record absolu.

Cette datation radiométrique, réalisée sur des morceaux enfouis dans la roche, fait de cet échantillon « de loin le plus ancien spéléothème jamais daté directement ». Le site, autrefois saturé de pétrolepétrole et de goudron, a agi comme un coffre-fort naturel, préservant à la fois fossiles et structures minérales d'une décomposition quasi totale.

Un nouveau regard sur les débuts de la vie terrestre

Si la stalagmite de Richards Spur est fragmentée, sa valeur scientifique reste immense. Elle prouve que ces formations fragiles peuvent survivre à des centaines de millions d'années d'histoire géologique.

Les chercheurs y voient aussi une archive climatique inédite du Permien précoce, une époque charnière où les premiers reptiles et synapsides commençaient à se diversifier sur la terre ferme. « Nos échantillons permettront de reconsidérer la faunefaune vertébrée de Richards Spur dans le contexte d'un âge absolu et de données paléoclimatiques précises », ont déclaré les auteurs de l'étude publiée dans Geological Society of America.

Ces travaux pourraient amener à revoir la chronologie admise pour de nombreux sites fossilifèressites fossilifères du Permien et, peut-être, réécrire une partie de l'histoire de l'évolution des vertébrésvertébrés.

read-entire-article

         

        

NE LAISSER PAS LE 5G DETRUIRE VOTRE ADN  

Protéger toute votre famille avec les appareils Quantiques Orgo-Life®

  Publicité par Adpathway